Tchad : 16 édition du festival NdjamVi officiellement lancée ce mardi.

 

C’est sous le thème « la culture comme un outil de développement humain et social » que la 16 eme édition du festival NdjamVi a été ouverte ce mardi 28 Nombre et qui s’étendra jusqu’au 1er décembre dans l’enceinte du centre des Jeunes Don Bosco avec notamment plusieurs projets artistiques dans le cahier de charge.

Pendant 5 jours, les activités se poursuivront dans cet endroit afin de permettre aux jeunes artistes général d’exprimer leur talent.
Au menu du festival NdjamVi 2023 , il y aura des formations en technique de développement de spectacles pour les jeunes qui veulent demain prendre le micro. De même, il est prévu des débats autour de la question du modèle économique des industries musicales; sur la construction du dossier de presse de l’artiste; des actualités et surtout l’utilisation de l’intelligence artificielle qui fait la Une; et en dernier lieu ce sera une conférence-débat autour de la question de circulation de l’artiste de la circulation de l’artiste en Afrique centrale, aussi des expositions, ventes…..

La 16éme édition du festival NdjamVi, verra la participation de plusieurs artistes venus d’ailleurs, notamment, le Cameroun, la République Centrafricaine et le Gabon.

Lancée en 2007 pour la première fois Ndjam-Vi, cette plateforme d’échange culturelle par excellence rencontre d’énormes difficultés pour se dérouler comme il se le doit. De la précarité du soutien financier aux non-perceptions de ce concept culturel, les investisseurs restent hésitants au financement de ce projet. Mais le comité d’organisation dit croire au slogan du festival : « ensemble pour la promotion et la valorisation de la musique tchadienne ».

Malgré cette difficulté, le directeur artistique souligne que la valeur culturelle n’a pas de prix car, la culture est la première source de l’économie intarissable pour une nation. Elle demeure son identité souligne le directeur artistique Nguinambaye Ndoua Manassé, d’ajouter que la culture est le fondement et demeure le premier facteur d’unité de tout peuple. D’où il y a lieu de l’entretenir et de le développer. L’entretien et le développement relèvent de l’implication des acteurs culturels et de tous les Tchadiens sans distinction.

Par kenzo Brown 

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