Monde : Un iPhone dont l’écran se répare tout seul bientôt disponible ?
Partager la publication "Monde : Un iPhone dont l’écran se répare tout seul bientôt disponible ?"
La rumeur de l’iPhone pliable prend du galon. Souvent évoqué, ce mobile devrait bien finir par arriver un jour, ne serait-ce que pour contrer les offensives des Samsung, Huawei et consorts. Il pourrait d’ailleurs embarquer une technologie lui permettant d’entrée de jeu de se démarquer de la concurrence.
Un brevet Apple publié ces dernières heures laisse planer l’éventualité d’un mobile à l’écran pliable, mais plus important encore, en mesure de se réparer de lui-même. Capable d’effacer les rayures et autres impacts, l’écran s’appuierait sur un brevet déposé par le même Apple un peu plus tôt dans l’année, en janvier 2020.
Là où c’est intéressant, c’est que cet écran serait en mesure de se réparer tout seul, sans que l’utilisateur n’intervienne. Il utiliserait alors aussi bien la chaleur, la lumière que l’électricité pour réparer une couche de protection appliquée sur l’écran. Il serait carrément question d’utiliser un élastomère, soit un polymère aux propriétés élastiques en mesure d’encaisser de très grandes déformations avant de céder.
Sur le court terme, c’est l’iPhone 12 qui devrait occuper l’espace médiatique ces prochaines semaines. D’après d’insistantes rumeurs, il serait question de pas moins de 4 modèles, les iPhone 12 mini, iPhone 12, iPhone 12 Pro et iPhone 12 Pro Max.
L’iPhone 12 mini serait particulièrement abordable, avec un prix d’entrée fixé à 649 dollars, soit 50 dollars de moins que l’iPhone 11. A contrario, l’iPhone 12 Pro Max, supposément doté d’un généreux écran, verrait ses tarifs débuter dès 1 100 dollars, en faisant le modèle le plus onéreux de cette gamme à venir.
Et si à l’heure actuelle, aucune date de présentation de ces smartphones n’a été spécifiée par Apple, il serait visiblement question d’une keynote d’ici quelques jours, le 13 octobre très précisément. Si tel est vraiment le cas, alors les invitations ne devraient plus tarder à partir.
Par Jérôme Wailifu