Tchad : Sextape  : Deux ministres démissionnent après la fuite de vidéos intimes

Le gouvernement de transition au Tchad est secoué par un scandale retentissant impliquant deux de ses ministres. Haliki Choua Mahamat, le secrétaire général du gouvernement, et Daoud Yaya Brahim, ministre de la Défense, ont été au cœur de cette affaire troublante.

Des vidéos intimes les concernant ont été diffusées en ligne, provoquant un émoi général. Dans une réaction inattendue, les deux ministres ont annoncé leur démission, exprimant leur indignation face à l’exposition de leur vie privée.

Scandale s3xtape au gouvernement tchadien
La révélation des vidéos intimes impliquant Haliki Choua Mahamat et Daoud Yaya Brahim a secoué le gouvernement tchadien. Les vidéos ont circulé sur internet, suscitant des réactions indignées de la part du public.

Dans ces circonstances délicates, les deux ministres ont pris la décision de quitter leurs fonctions pour protester contre cette intrusion choquante dans leur vie personnelle.

Haliki Choua Mahamat, Une plainte envisagée
Haliki Choua Mahamat, dont la vidéo intime le montrait en compagnie d’une femme identifiée comme sa conjointe, a déclaré qu’il avait l’intention de porter plainte.

Dans une annonce sur Facebook, il a partagé : « Je tenais à vous informer personnellement d’une décision importante que je viens de prendre. En effet, après une longue réflexion, j’ai décidé de présenter ma démission du gouvernement, et je suis heureux de vous annoncer que le Premier ministre l’a acceptée. »

Cette démission, bien que surprenante, montre l’impact profond que cette affaire a eu sur les ministres. Elle souligne également les défis auxquels les personnalités publiques sont confrontées en matière de respect de leur vie privée à l’ère de la technologie et des réseaux sociaux.

La diffusion de ces vidéos s3xtapes a suscité un débat sur l’éthique et la vie privée des personnalités publiques. De nombreux citoyens ont exprimé leur désapprobation concernant la violation de la sphère privée de ces ministres.

Par Kenzo Brown 

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