Tchad : Sultan Guy dresse un constat amer de son entourage dans son nouveau clip « Invictus »

Hospitalisé suite à son accident, le rappeur Sultan Guy a mis à profit le temps libre qu’il avait entre ses examens médicaux pour imaginer un clip dans sa chambre d’hôpital. Dans le clip Sultan Guy raconte les jours mouvementés qu’il a vécus.

Le rappeur tchadien Sultan Guy a vu sa vie basculer du jour au lendemain. Un accident qui lui a fait voir la vie autrement.

Sultan Guy , la dure réalité suite à son accident

Le rappeur Sultan Guy se souviendra toute sa vie . Ce jour-là 15 juin 2021 , le jeune homme  à connu un grave accident de circulation. A partir de ce jour, il restera cloué sur le lit d’hôpital.

Autre point évoqué, le fait de ne jamais abandonner. C’est en persévérant qu’il a atteint son objectif de remarcher un jour. Plusieurs mois plus tard, le bouquin est adapté au rap .
Difficile de ne pas s’arrêter quand, Sultan sort un clip. Le Big des Big livre « Invictus », Dans ce clip réalisé par Djerabé Ndjignar le rappeur balance des petites phrases qui en disent long sur l’état actuel des personnes

Quelques phrases qui décrivent bien ce que l’on vit au quotidien. Comme dit un adage populaire , » comprendra qui pourra » L’artiste vient de poser un constat clair. Dans « Invictus » un clip dans lequel le ras-le-bol est perceptible.

Dans ce morceau plein de sagesses,  le rappeur Sultan Guy , sans un  faux-semblant, parle du rôle des liens qu’un individu tisse avec son entourage, notamment le choix de celui-ci. Les relations humaines supposées « un prix à payer », ils peuvent être bénéfiques tout comme néfaste vu que le plus souvent, la trahison vient de nos proches et notre entourages.

Dans son clip « Invictus » il revient sur cette période sombre comme pour tourner la page. Sur un rythme dansant il crache toute sa rancœur et son amertume contre ceux qui ont tant voulu lui nuire. L’artiste ne s’était pas beaucoup expliqué sur cette affaire car il souhaitait faire parler sa musique.

Découvrez le clip via ce lien.

Par Kenzo Brown