Burkina-Faso: Désormais prison ferme et lourdes peines pour les influenceuses qui exposent leurs nudités sur les réseaux sociaux

Le constat est tristement amer et le gouvernement burkinabè prend d’ores et déjà des mesures pour mettre fin à l’exposition de nudité sur les réseaux sociaux. Quasi-absentes dans presque tous les domaines, ces jeunes femmes africaines sont présentes sur les réseaux ( Tiktok, Facebook, Instagram etc…) Surnommées diseuses de conseils ou coaches, c’est de la bouse des vidéos à la con mal filmées de poufiasses qui se trémoussent et exposent leur nudité sur la toile, voir certaines filles qui dansent presque nues en déphasage de l’éducation et des valeurs africaines. De manière systématiquement lascive, vous leur foutez la Marche Funèbre de Chopin, elles sont encore là, à se secouer le mini-short en se léchant les lèvres pour 4 likes…

Des images et vidéos obscènes de jeunes femmes circulent sur les réseaux sociaux et autres canaux de communication montrant leurs nudités ou exhibitions sexuelles. Ces faits contraires à notre éducation bien africaine et qui constituent des ouvrages publics aux bonnes mœurs seront punies par une loi qui vient d’être votée. Oui pour la Liberté d’expression et d’utilisation des réseaux sociaux, mais il faut reconnaître que face aux dangers et à l’inquiétante réalité, nos gouvernants doivent prendre des décisions afin de réguler l’utilisation des réseaux sociaux par ces influenceuses comme le cas du Burkina Faso.

Au pays des hommes intègrent cette situation va prendre fin. Le président de transition du Burkina Faso, S.E Ibrahim Traoré a pris une décision ferme qui vise à mettre un terme à la dégradation des valeurs morales qui se propage sur les plateformes de médias sociaux. C’est ainsi qu’ une loi a été votée, imposant des sanctions sévères à ceux qui enfreignent ces nouvelles directives. « Deux(2) ans de prison ferme et une amende de trois(3) millions pour toute influenceuse qui expose son corps sur les réseaux sociaux ».

Cette initiative vise spécifiquement à contrôler la diffusion de contenus inappropriés. Il s’agit notamment des contenus qui mettent en scène des individus partiellement dénudés, sur des plateformes telles que TikTok, Facebook et Instagram.

Les autres États de notre continent africain devraient emboîter le pas aux autorités de transition du Burkina Faso afin de réguler la toile pour une bonne éducation de la jeunesse accros des réseaux sociaux. Faut-il le rappeler, l’Afrique a un valeur qu’il faut préserver pour un meilleur avenir des Africains, car étant le berceau de l’humanité

Par Francis Kaboré 

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