Cameroun: Affaires de Sextape Lomotif : Raïssa nargue tout le monde et promet une nouvelle vidéo

Raïssa Ndong, ce nom ne disait rien aux internautes du Cameroun jusqu’au lundi 13 juillet 2020. Elle n’est ni une artiste musicienne, encore moins une célèbre sportive. Et pourtant depuis quelques jours, Raïssa est devenue un visage connu sur la toile.

Cette jeune demoiselle au corps généreux a fait parler d’elle avec sa vidéo pornographique dans laquelle elle exhibe ses ébats sexuels.

Dans un premier temps, elle fait croire à l’opinion que la vidéo aurait été mise en ligne à son insu par un ami qui avait utilisé son téléphone pour prendre des photos.

« Voici ce qui se passe. Le jour que je fais le Lomotif, un ami prend mon téléphone, il voulait se filmer. Ensuite il me demande de lui envoyer ses photos. Je lui dis “envoies les toi-même sur Whatsapp. C’est comme ça qu’il prend le téléphone, il envoie les photos chez lui ensuite il voit le lomotif et se met à regarder. Je lui dis que c’est un truc privé et qu’il n’a pas le droit de regarder ma nudité. Comme la connexion dérangeait il prend la vidéo et met en statut. La connexion était vraiment lente ce jour. Quand il me remet le téléphone je n’ai pas constaté à l’instant qu’il y avait la vidéo en statut et la vidéo est partie sur mon statut quand je vois donc je supprime et je me fâche contre lui. Je lui ai dis que “je n’aime pas les choses comme ça. J’ai horreur de ça », avait-elle expliqué dans un premier temps.

Contrairement à cette première version qui semble montrer Raïssa embarrassée par la publication de sa vidéo en tenue d’Adam, d’autres publications de la même personne, indiquent qu’elle semble désormais bien se plaire dans son nouveau rôle de la star du porno au Cameroun. Sur son compte Instagram, elle publie des photos sur lesquelles elle répond violemment à ses followers qui l’attaquent et promet d’autres vidéos à ceux qui l’adulent.

« Si seulement quelqu’un pouvait aussi sucer ta part, idiot », a-t-elle répondu à un internaute qui tentait de jouer au moralisateur.

Par Georges Domo