Tchad Culture: la compagnie Koravy à présentée la résidence de danse sous le thème les « rythmes. et sonorités du Tchad »

La compagnie Koravy est engagée dans la création de spectacles mêlant danse, théâtre et musique et à présenter une résidence , » les rythmes et sonorités du Tchad » , afin d’en assurer la découverte en l’intégrant à d’autres formes d’arts et de la rendre accessible à un large public. La maison de quartier chaguoa à accueilli la présentation de cette résidence de danse le samedi 14 septembre dernier.

​Le projet de la compagnie Koravy est de pousser les limites de la danse tchadienne et d’élaborer de nouvelles approches artistiques autour de dialogues et de temps de réflexion qui sont les socles de vivre ensemble,
Leurs créations incluent tous une démarche d’action culturelle en direction de différents publics, notamment, des élèves, étudiants. Les artistes, journalistes, les jeunes,
Les créations de la compagnie font découvrir un univers où les rythmes et les sonorités du Tchad sont misent en exergue et entre en dialogue avec d’autres formes d’arts vivants.​ Au cours de cette résidences de création, des ateliers, des temps forts d’action culturelle sont proposés par la compagnie sur le thème du projet.
Le spectacle Rythme et sonorités du Tchad est porté par Guedoum Djimbaye Razolo par ailleurs le Directeur artistique de la compagnie Koravy , les percussionnistes Barnabasse Mbairin Reoutoloum, Rahadmadji Firmin, Allanigueyam David , les danseurs Nguemaddji Gabriel, Ndjeminda Moulnang Ghislain , Dingamnayal Montoingar Christophe , Mbainaissem Alexis , et les comédiens Ndemkeri Yadibaye Chrisian et Reounoudji Bomia Abba Ngol.
La résidence Rythmes et sonorités du Tchad est un décryptage qui offre un pan pédagogique aux nouveaux artistes de découvrir le processus de création artistique mais aussi d’imposer à leur talent une ligne de travail qui confirmera leur profession d’artiste au niveau socio-anthropologique et spectacle évoque le message que cache les gestes et gestuels des danses patrimoniales de contrepied de ce que les gens abordent en terme du mal vivre ensemble ou de la mauvaise cohabitation pacifique est le trois tableau que peint ce spectacle.

Les sonorités sont des langages du cœur qui reflètent l’image de ce pays qu’on appelle le berceau de l’humanité. La création prend en compte l’aspect artistique, culturel et ethno- musicologique. Le produit du spectacle présenté ce samedi 14 septembre est une sorte de scène sur laquelle peut se danser le rythme saï , le lab, le djibeul et boua , le foulatah et un métissage du saï au nang et saigon.
Par Kenzo Brown pour le journal l’oeil du Sahara.

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