France : François Hollande blessé à la tête après une chute à St Malo

L’ancien président français en visite en Bretagne le vendredi 28 août 2020 a fait une mauvaise chute et s’en tire avec quelques points de suture. Après cette mésaventure, on se demande ce qui s’est réellement passé lors de cette folle journée d’été ?

Et bien, selon les confrères de Ouest France, le compagnon de Julie Gayet a pris la direction de la Bretagne, bien décidé à apporter son soutien à Thibault Vauchel-Camus. Le skipper qui navigue sous les couleurs de l’Arsep, la fondation pour l’aide à la recherche sur la sclérose en plaques et l’information médicale et scientifique, l’avait en effet invité pour un petit tour en bateau à bord de son multi coques. Après un déjeuner des plus instructifs et une interview accordée avec Ouest France, François Hollande a pris la direction du port… sous des trombes d’eau ! Un élément qui décidément ne sied pas à l’ancien chef de l’état, dont la mandature a, hélas, souvent été marquée par des événements se déroulant sous un ciel peu clément.

Loin de se laisser abattre, l’homme politique, bien équipé, monte à bord. Et s’offre alors une belle sortie. Car malgré les conditions de mer mouvementées, celle-ci se déroule très bien. En revanche, le retour au port, lui, un peu moins. En effet, lors de la manœuvre de débarquement, pour quitter le semi-rigide de Vauchel-Camus, l’ancien président a perdu l’équilibre et s’est occasionné une plaie importante au crâne. Des blessures qui ont nécessité une visite dans un cabinet médical de la cité corsaire malouine et la pose de deux points de sutures.

François Hollande, a-t-il ensuite écourté sa visite ? Pas du tout ! Puisque c’est bon pied, bon œil qu’il a accepté d’honorer l’invitation de Gilles Lurton, le maire de Saint-Malo, à l’hôtel de ville. Ce n’est pas un petit bobo qui va lui ruiner cette belle journée d’été bretonne ! Finalement, beaucoup plus de peur que de mal pour l’ancien président qui a par ailleurs confié n’avoir aucune ambition politique pour l’heure, mais “en revanche, je peux être utile à mon pays, par mes idées et mon expérience, dans la crise qu’il traverse aujourd’hui. Une candidature suppose des conditions et pas simplement une ambition”.

Par Thierry Wikeya

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