Tchad: Allahamne Benjamin sort  » les espoirs sombres d’une jeunesse s’éteignant » Voici l’histoire de son nouveau livre.

Né le 24 juillet 1996 à Bebalem au Tchad dans le logone occidentale, ALLAHAMNE MINDA Benjamin est l’un des jeunes féru de la littérature soucieux du venir de la jeunesse de son continent et surtout de son pays. Actuellement inscrit en parcours de Master en droit international public à l’université Lyon 3 Jean Moulin, il est un écrivain, essayiste de la nouvelle génération et auteur de  » LES ESPOIRS SOMBRES D’UNE JEUNESSE S’ÉTEIGNANT  » publié en juin 2020 aux éditions EdiLivre en France.

Passionné de la littérature qui demeure sa dopamine, « espoirs sombres d’une jeunesse s’eteignant » n’est selon lui un titre choisi au hasard mais mûrement réfléchi car au-delà du constat général de délinquance et de décrépitude que vivent les jeunes au sujet d’inconscience morale, intellectuelle, il y a toujours un 《espoir》 nous laisse entendre l’auteur; mais cette 《espérance 》 reste sombre si les comportements ne s’alimentent de façon positive et impulsive pour atteindre le paroxysme et la maturité.
Pour Benjamin MINDA, cet essai de 62 pages qui se veut cours mais alertant et conscientisant decrit un certain nombre de situation d’inconscience au niveau de la jeunesse africaine en générale et Tchadienne en particulier; une jeunesse qui peine à prendre à bras le corps, les enjeux réels d’une société qui évolue de façon exponentielle… une jeunesse qui d’hors et déjà à perdu les repères de la moralité de l’éthique, de la culture du savoir et du bien-vivre social tout en ayant des objectifs constructifs. Mais aussi, cette jeunesse est loin d’être là seule responsable de sa situation car tout le long de cette oeuvre, l’on évoqué aussi les questions d’incohérence en matière de gouvernance locale et nationale et aussi une petite perspective sur des responsables exogènes. Le tout ayant pour objectif de conscientiser la jeunesse. Par ailleurs , les thèmes abordés sont entre autres la délinquance juvénile, la dépravation des moeurs, le déraillement social, et même des départs ou de la migration qui minent la jeunesse, un manque de vision… Loin de l’auteur, l’idée de faire de ces questions une fatalité, il expose comme il le dit lui-même « les généralités qui devraient questionner » tout un chacun. Une chose est tout de même certaine : l’avenir c’est la jeunesse
Pour lui, cette oeuvre littéraire qui se veut informationnelle s’adresse à la jeunesse à priori mais sa portée peut particulièrement intéressé des personnes en âges avancés car, selon sa perception, est jeune celui qui se sent jeune, cependant les considérations liées à l’âge sont peu importantes.
Pour finir, l’auteur de lancer un appel, moins encore un message d’alerte à l’endroit de la jeunesse Africaine, surtout tchadienne sous ces termes 《 je dis à la jeunesse africaine que nous avons une force incroyable en nous, je pense notamment à la vigueur actuelle qui n’est pas éternelle faut-il le rappeler et qu’il faut mobiliser ces énergies pour une impulsion positive au niveau personnel qui conduira à un changement collectif et social》.
« Espoirs sombres d’une jeunesse s’eteignant » est un appel à la vision d’une jeunesse consciente, face à ces graves moments que nous traversons, doit se préoccuper de l’avenir de son pays et de son continent. 《Nous sommes là relève de demain et s’il y a une chose que l’histoire nous a appris, c’est que les grands changements ne s’imposent pas, il se préparent et dans la longue durée c’est pourquoi j’insiste sur une prise de conscience individuelle et collective》 dit-il. C’et essai est disponible sur plusieurs plate-formes en ligne notamment sur EdiLivre.com , Amazon, FNAC, Chapitre.com au prix avoisinant 3500.

Par BEBAREM BEINDADJE Gérard (stagiaire )

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