Cameroun : l’étudiant tchadien Magloire Djebet, major d’excellence à Ngaoundéré.

 

L’Université de Ngaoundéré au Cameroun a été le théâtre d’un événement marquant pour l’éducation tchadienne. Le 23 juillet dernier, Magloire Djebet, étudiant tchadien en Master à la Faculté des Sciences de l’Éducation, a défendu avec brio son mémoire de recherche.

Une réflexion sur l’assurance qualité
Intitulé « Système d’Assurance Qualité et Planification des Évaluations à l’Université de Moundou au Tchad : Révolution ou Évolution ? « , son travail aborde une problématique cruciale pour l’amélioration du système éducatif tchadien. Magloire Djebet s’est penché sur les mécanismes d’assurance qualité et de planification des évaluations au sein de l’Université de Moundou, analysant en profondeur leur nature et leur impact.

Un travail salué par l’excellence
Le jury, composé d’éminents professeurs et spécialistes du domaine, a été unanimement séduit par la qualité du travail de Magloire Djebet. Rigueur méthodologique, pertinence des analyses, clarté des conclusions… son mémoire a rempli tous les critères d’excellence. Résultat : une mention « Excellent » avec une note remarquable de 18/20, faisant de lui le major de sa promotion et de sa faculté.

Un jeune chercheur prometteur
Ce succès consacre Magloire Djebet comme un spécialiste en Mesure et Assurance Qualité en Éducation. Il rejoint ainsi la communauté scientifique internationale, prêt à mettre son expertise au service du développement de l’éducation au Tchad.

Un message d’espoir pour l’éducation
Le parcours exemplaire de Magloire Djebet est un véritable message d’espoir pour le Tchad. Il démontre le potentiel des jeunes tchadiens à s’illustrer au plus haut niveau académique et à contribuer activement au progrès de leur pays.
L’Université de Moundou, au centre de ses recherches, pourrait bien trouver dans les conclusions de son travail des pistes concrètes pour améliorer ses processus d’évaluation et garantir une formation d’excellence à ses étudiants et à l’institution elle-même.

Par Kenzo Brown 

Commentaires Facebook